- Igor Gousseva
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Date d'inscription : 18/06/2019
Républicanisation de la République
Ven 24 Jan 2020 - 14:01
Alors que Arkelsson gérait les affaires militaires et diplomatiques de la jeune République, Gousseva s'occupait de l'intérieur.
Depuis Mitau, Gousseva et son bureau politique lancèrent la "politique de républicanisation".
Il ne s'agissait ni plus ni moins que d'appliquer le programme merksiste, légèrement revisité par le programme en huit points de la Commune de Nikolaï.
C'était avec beaucoup de joie que Gousseva put enfin contribuer à l'édification d'un régime vraiment merksiste. L'opposition, terrifiée par les exécutions de la semaine dernière, était inexistante et la guerre permettait de mener cette politique tambour battants.
En tous points du territoire, on congédia fermement l'ancienne administration royale pour installer des conseils populaires. Ces conseils eurent la charge de laïciser la société. Au delà de l'aspect idéologique de cette politique, il s'agissait d'être pragmatique. Il s'agissait de prendre l'argent de l'Eglise. Enfin on le prendrait là où il était plutôt que de pressurer les pauvres gens. Aussi, on ferma les églises des prêtres fuyards, on fondit de nombreuses cloches et on saisit les avoirs financiers de l'Eglise, avoir qui rapportèrent peu, soit environ 2 millions de thalers. Cet argent fût immédiatement employé à acheter des armes à l'étranger. Les contrebandiers sorabes avaient flairé un bon coup et déjà leurs navires débarquaient discrètement du matériel militaire. Il fallait agir vite pendant que le blocus nationaliste était encore assez lâche.
Ensuite, on prit un arrêté pour taxer les hautes fortunes. Les Livadiens les plus fortunés se virent imposer une saisie de 75% sur leur comptes bancaires. Sans quoi, ils étaient expulsés et leurs biens étaient intégralement saisis. Néanmoins, ces salopards avaient eu un coup d'avance et pour beaucoup ils avaient transféré leurs avoirs sur des comptes à l'étranger. Ils ne perdaient rien pour attendre. La République rendrait cette société plus juste et plus égalitaire que les réactionnaires ne le veuillent ou non.
Depuis Mitau, Gousseva et son bureau politique lancèrent la "politique de républicanisation".
Il ne s'agissait ni plus ni moins que d'appliquer le programme merksiste, légèrement revisité par le programme en huit points de la Commune de Nikolaï.
C'était avec beaucoup de joie que Gousseva put enfin contribuer à l'édification d'un régime vraiment merksiste. L'opposition, terrifiée par les exécutions de la semaine dernière, était inexistante et la guerre permettait de mener cette politique tambour battants.
En tous points du territoire, on congédia fermement l'ancienne administration royale pour installer des conseils populaires. Ces conseils eurent la charge de laïciser la société. Au delà de l'aspect idéologique de cette politique, il s'agissait d'être pragmatique. Il s'agissait de prendre l'argent de l'Eglise. Enfin on le prendrait là où il était plutôt que de pressurer les pauvres gens. Aussi, on ferma les églises des prêtres fuyards, on fondit de nombreuses cloches et on saisit les avoirs financiers de l'Eglise, avoir qui rapportèrent peu, soit environ 2 millions de thalers. Cet argent fût immédiatement employé à acheter des armes à l'étranger. Les contrebandiers sorabes avaient flairé un bon coup et déjà leurs navires débarquaient discrètement du matériel militaire. Il fallait agir vite pendant que le blocus nationaliste était encore assez lâche.
Ensuite, on prit un arrêté pour taxer les hautes fortunes. Les Livadiens les plus fortunés se virent imposer une saisie de 75% sur leur comptes bancaires. Sans quoi, ils étaient expulsés et leurs biens étaient intégralement saisis. Néanmoins, ces salopards avaient eu un coup d'avance et pour beaucoup ils avaient transféré leurs avoirs sur des comptes à l'étranger. Ils ne perdaient rien pour attendre. La République rendrait cette société plus juste et plus égalitaire que les réactionnaires ne le veuillent ou non.
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