- Viktor Arkelsson
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Date d'inscription : 11/01/2020
Constitution de l'Armée Républicaine
Sam 18 Jan 2020 - 23:39
Viktor Arkelsson, jadis capitaine de réserve dans les forces de défense livadiennes, se targua de cette expérience pour prendre le commandement de l'Armée Républicaine.
Armée était un grand mot. En réalité, Arkelsson avait sous son commandement plusieurs groupes para-militaires avec des chefs relativement jaloux de leur autonomie.
La première mission de l'armée républicaine avait été de s'assurer le contrôle effectif du territoire. Au lendemain de la proclamation de la République, des voix dissidentes s'étaient élevées. Aussi, on avait fusillé en place publique une dizaine d'opposants et la population se tenait désormais coi.
Il était regrettable d'en arriver là, mais parfois, il fallait délivrer le peuple malgré lui quand il n'était pas assez mûr et conscientisé.
Au matin du 19, Arkelsson avait environ 10.000 hommes sous ses ordres qui s'alignaient sur la ligne de front. Plusieurs centaines d'hommes montaient également la garde à Mitau et devant Levgrad.
L'ensemble était mal organisé, peu discipliné mais relativement bien équipé grâce aux saisies de matériel sur les bases royales. L'appui de la population n'était pas assurée, mais bientôt Gousseva appliquerait les idéaux républicains sur le terrain et la redistribution des richesses rendrait la jeune République populaire.
Avant cela, il fallait gagner la guerre.
Armée était un grand mot. En réalité, Arkelsson avait sous son commandement plusieurs groupes para-militaires avec des chefs relativement jaloux de leur autonomie.
La première mission de l'armée républicaine avait été de s'assurer le contrôle effectif du territoire. Au lendemain de la proclamation de la République, des voix dissidentes s'étaient élevées. Aussi, on avait fusillé en place publique une dizaine d'opposants et la population se tenait désormais coi.
Il était regrettable d'en arriver là, mais parfois, il fallait délivrer le peuple malgré lui quand il n'était pas assez mûr et conscientisé.
Au matin du 19, Arkelsson avait environ 10.000 hommes sous ses ordres qui s'alignaient sur la ligne de front. Plusieurs centaines d'hommes montaient également la garde à Mitau et devant Levgrad.
L'ensemble était mal organisé, peu discipliné mais relativement bien équipé grâce aux saisies de matériel sur les bases royales. L'appui de la population n'était pas assurée, mais bientôt Gousseva appliquerait les idéaux républicains sur le terrain et la redistribution des richesses rendrait la jeune République populaire.
Avant cela, il fallait gagner la guerre.
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