- Kareel Kander
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Date d'inscription : 14/06/2019
Tentative d'occupation par des militants républicains des locaux de l'URL
Dim 12 Jan 2020 - 23:42
Alors que la province semblait relativement calme, la capitale était en ébullition.
Au petit matin, plusieurs dizaines d'étudiants encartés très à gauche, accompagnés d'agitateurs professionnels avaient tenté d'occuper les locaux de la la faculté de sciences sociales de l'Université Royale de Livadia.
C'était sans compter la ferme vigilance du doyen Piort Lersalence et de ses adjoints tous encartés au Parti Patriote, c'est qu'en Livadie, l'université était plutôt à droite, voire très à droite.
Aussi, la police fut rapidement dépêché sur les lieux pour constater l'effraction. Très sollicitée, elle ne put mettre à disposition qu'une poignée de policiers pour évacuer les manifestants. Ils furent aidés par plusieurs élèves encartés au PP.
Le commandant de police ferma les yeux. Il avait des consignes fermes. Hors de question de laisser un nouveau foyer de sédition se créer. Aussi ses hommes chargèrent dans le hall, expulsant un à un les squatteurs, tandis que dans l'établissement, les Patriotes se lancèrent dans une véritable chasse à l'homme des fuyards gauchistes.
Il y eut des violences, des yeux au beurre noir, des côtes froissées et des glapissements d'indignation, mais une heure plus tard, le commandant put allumer son talkie-walkie et lâcher quelques mots laconiques à ses supérieurs.
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Au petit matin, plusieurs dizaines d'étudiants encartés très à gauche, accompagnés d'agitateurs professionnels avaient tenté d'occuper les locaux de la la faculté de sciences sociales de l'Université Royale de Livadia.
C'était sans compter la ferme vigilance du doyen Piort Lersalence et de ses adjoints tous encartés au Parti Patriote, c'est qu'en Livadie, l'université était plutôt à droite, voire très à droite.
Aussi, la police fut rapidement dépêché sur les lieux pour constater l'effraction. Très sollicitée, elle ne put mettre à disposition qu'une poignée de policiers pour évacuer les manifestants. Ils furent aidés par plusieurs élèves encartés au PP.
Le commandant de police ferma les yeux. Il avait des consignes fermes. Hors de question de laisser un nouveau foyer de sédition se créer. Aussi ses hommes chargèrent dans le hall, expulsant un à un les squatteurs, tandis que dans l'établissement, les Patriotes se lancèrent dans une véritable chasse à l'homme des fuyards gauchistes.
Il y eut des violences, des yeux au beurre noir, des côtes froissées et des glapissements d'indignation, mais une heure plus tard, le commandant put allumer son talkie-walkie et lâcher quelques mots laconiques à ses supérieurs.
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