- Kareel Kander
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Date d'inscription : 14/06/2019
Bureau politique du parti
Sam 21 Déc 2019 - 20:11
Les cadres du Parti Patriote s'étaient réunis au QG du parti. La reconduction de l'alliance avec la droite et le centre-droit pour les prochaines élections législatives était la question à laquelle on devait donner une réponse aujourd'hui.
Après six mois de coalition, plusieurs points d'achoppement s'étaient installés entre les Patriotes et Conservateurs-Démocrates. Le premier et le plus important de tous était le plan de relance économique Baltijas. Afin de lutter contre la récession, le gouvernement avait entamé une politique ultra-libérale qui tenait en un adage simple : moins d'état, moins de charges, moins d'impôts.
Les Patriotes n'avaient jamais été libéraux en économie, ils auraient préféré une relance plus classique par la consommation. De plus, ils leur semblaient injuste de demander de tels efforts de rigueur à la société livadienne déjà marquée par des séries de licenciement de fonctionnaires et par la récession.
L'opinion publique livadienne était mécontente. Les résultats économiques n'étaient pas bons. La récession était à peine jugulée et le chômage repartait à la hausse. Kander savait pertinemment qu'une politique économique ne pouvait être jugée au bout de trois mois, mais il n'entendait pas couler avec la barque gouvernementale.
Ceci, plus quelques querelles d'égo, le changement de l'hymne livadien, et des frictions avec les centristes, avaient suffi à consommer la rupture. A la veille des élections, les Patriotes décidèrent d'y aller en solo.
Après six mois de coalition, plusieurs points d'achoppement s'étaient installés entre les Patriotes et Conservateurs-Démocrates. Le premier et le plus important de tous était le plan de relance économique Baltijas. Afin de lutter contre la récession, le gouvernement avait entamé une politique ultra-libérale qui tenait en un adage simple : moins d'état, moins de charges, moins d'impôts.
Les Patriotes n'avaient jamais été libéraux en économie, ils auraient préféré une relance plus classique par la consommation. De plus, ils leur semblaient injuste de demander de tels efforts de rigueur à la société livadienne déjà marquée par des séries de licenciement de fonctionnaires et par la récession.
L'opinion publique livadienne était mécontente. Les résultats économiques n'étaient pas bons. La récession était à peine jugulée et le chômage repartait à la hausse. Kander savait pertinemment qu'une politique économique ne pouvait être jugée au bout de trois mois, mais il n'entendait pas couler avec la barque gouvernementale.
Ceci, plus quelques querelles d'égo, le changement de l'hymne livadien, et des frictions avec les centristes, avaient suffi à consommer la rupture. A la veille des élections, les Patriotes décidèrent d'y aller en solo.
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