Grand Royaume de Livadia

Le Palais Royal de Cölln est le lieu de résidence du souverain du Grand Royaume. En dépit des apparences, c'est encore un lieu de pouvoir : le Roi nomme aux hautes charges étatiques et veille au respect des coutumes et à la pérennité de la nation.

Livadia, située au cœur de la plaine argenoise est la capitale et la plus grande ville du Royaume. Fondée en 1918 par les colons livadiens, la cité s'est voulue l'héritière et la continuatrice de la Ville, l'Ancienne-Livadia, détruite en 1917. À bien des égards, la Nouvelle a supplanté l'Ancienne, et les Livadiens peuvent se targuer d'avoir rendu véritable le vieux souhait des refondateurs de la ville qui, plein d'espérance, lui avaient donné la devise « Elle renaîtra de ses cendres »

Les provinces sont les subdivisions administratives du pays.

C'est la guerre ! La monarchie est tombée, les Livadiens d'obédience nationaliste et républicaine ont pris les armes et se déchirent dans une querelle fratricide. Il y a des héros dans les deux camps, le Mal est partout.

Après deux affreuses années de luttes, la guerre s'est achevée avec la victoire des Nationalistes.

Né du coup d'état du général Kaljulaid suite à la sécession merksiste, l'État livadien est le régime politique de Livadia pendant la période que les historiens ont appelé "la nuit livadienne". Le Premier Fehér Kaljulaid s'appuie sur une idéologie conservatrice et nationale-zorthodoxe, qui s'incarne dans des institutions autoritaires (parti unique, censure, juridictions d'exception, etc.) justifiées par les nécessités de la guerre civile.

Quatre années plus tard, arguant que sa mission est achevée, le Premier Fehér démissionne et engage la transition démocratique.